The Dragon's Cave

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Benighted - Icon

Tracklist

01 - Complete Exsanguination
02 - Slut
03 - Grind Wit
04 - Saw it All
05 - Forsaken
06 - Smile Then Bleed
07 - Pledge of Relation
08 - Icon
09 - Human Circles
10 - Invoxhate
11 - The Underneath
12 - Blindfolded Centuries


Membres

Julien - Chant

Olivier - Guitare

Eric - Basse

Liem - Guitare

Kevin - Batterie


Benighted - Icon

Brutal Death - 2007

Dernier volet (pour le moment) des chroniques des franchouillards de Benighted, Icon, sortit en 2007, à la lourde de tache de rehausser le niveau, après un Identisick un peu trop plat à mon goût.

Pour le coup, c'est un peu le cas opposé que pour son prédécesseur. Si lors de son achat, il ne m'avait pas spécialement transcendé, j'ai appris à l'apprécier au fil des écoutes.

Encore une fois, on ne peut pas dire que le groupe part dans l'inconnu, révolutionnant le genre. Non, on reste toujours dans la même veine. Du Brutal Death, au relent Grind, toujours porté par la fabuleuse voix de Julien, encore plus variée et efficace.

Mais l'album sonne plus direct, accentuant le côté Grind de ses compos pour un rendu rentre dedans pour le moins sympathique. Et surtout, donnant un aspect moins clinique, moins neutre que l'on pouvait reprocher au précédent.

Il paraît aussi plus varié, les parties mélodiques plus subtilement intégré, la batterie qui bien que toujours aussi efficace ne se contente pas que de Blast, mais sait s'aérer quand cela est nécessaire. La musique sur certains passage adopte une lourdeur inhabituelle, parfois faisant furieusement penser à du Dying Fetus (Icon). On retrouve des influences Death Old School, comme dans l'excellente Human Circles, en duo avec Jagger de Disbelief. Quelques riffs Thrash, des passages de Death Technique, sans surenchère... Notons aussi le renforcement du groove des chansons, comme dans l'imparable Slut. Saw It All à tout pour devenir un nouvel hymne pour les concerts, un de plus.

Bref, ça se joue parfois à quelques détails, entre un très bon album, et l'un dont on se lassera. Tout en étant toujours aussi brutal que le précédent, Icon intègre suffisamment de variété dans ses compositions pour passer l'épreuve du temps. On passera juste sur la partie très rap tout à fait inutile et mal intégré de Grind Wit, pour retenir la qualité de cet album.

Chroniques aléatoires


Jethro Tull - Aqualung

Benighted - ICP

Scorpions - Taken by Force

Benighted - Identisick

Besatt - Hellstorm